Trois stages de Master 2 ont débuté dans le cadre de l’étude sur les réseaux trophiques.

Chloé Malirat travaille sur l’écologie alimentaire des mammifères et oiseaux marins en Manche Est, au sein de Cohabys. Elle va tout d’abord réaliser une synthèse bibliographique pour mieux comprendre l’écologie trophique de ces prédateurs supérieurs et déterminer les poissons à échantillonner lors de futures campagnes. Ensuite elle préparera les échantillons et réalisera les analyses en isotopes stables qui évalueront les niveaux trophiques et zones de prédation des mammifères et oiseaux marins.

Théo Dufresne, au Laboratoire de Morphodynamique Continentale et Côtière (UMR M2C) à Rouen, étudie, au niveau de la zone du futur parc éolien en mer de Dieppe Le Tréport, la morphodynamique des dunes et les flux sédimentaires en relation avec les communautés benthiques par une approche pluridisciplinaire. Ses objectifs seront d’analyser la couverture sédimentaire, de quantifier la morphologie et la migration des dunes, d’estimer les flux sédimentaires et de mettre en relation ses caractéristiques physiques avec la composition des communautés benthiques.

Toujours au sein de l’UMR M2C mais à Caen cette fois-ci, Tatiana Gauche étudie le compartiment suprabenthique des deux habitats sédimentaires du futur parc éolien en mer de Dieppe Le Tréport. Elle va tout d’abord réaliser un gros travail de tri et d’identification d’échantillons. Elle va ensuite analyser et évaluer l’état des communautés suprabenthiques et déterminer leur rôles dans les réseaux trophiques.